Belly Button c’est un peu comme une mélodie au piano, une partition jouée à deux. A quatre mains, un son s’échappe pour aboutir à un concert symphonique improvisé.
Belly Button c’est un peu comme une mélodie au piano, une partition jouée à deux.
A quatre mains, un son s’échappe pour aboutir à un concert symphonique improvisé. Continuer la lecture de « Belly Button Tattoo »
Un artiste incontournable de la culture old school : Sailor Jerry de son vrai nom Norman Keith Collins. Il est le papa des tatouages et symboles old school si souvent présents dans le milieu marin. Continuer la lecture de « Sailor Jerry et le tatouage old school »
Alive… se sentir légère, libre, en accord avec soi… sentir au creux de son ventre qu’on EST.
Julien Lachaussée, photographe, a réalisé une série de 146 portraits de personnes tatouées mais pas seulement… Un livre qui nous présente des univers riches et intéressants par leur côté authentique. Passions diverses (motos, musique, tatouage, graphisme, codes vestimentaires…) vécues à 200 % me fascinent. Des mouvements culturels qui puisent dans le passé mais qui ne cessent d’évoluer.
Je vous ai mis trois portraits réalisés par ce photographe, ceux que je préfère. Ils m’interpellent. En effet, ce qui change dans ces milieux souvent masculins, je pense (après je peux me tromper) c’est l’apparation, en douceur, des femmes qui s’affirment et se démarquent. Dans les rassemblements, lorsqu’on a la chance de croiser une femme qui conduit une Harley, quelle classe.
C’est ce qui me plait dans ces trois portraits. Elles ont un style, un look qui ne ressemble à aucun autre.
Je bave depuis un moment sur ce livre. Il est écrit en anglais, et ça m’arrête un peu… je réfléchis encore.
« En vivant dans une époque où il était scandaleux de montrer même une partie de sa cheville, quelques femmes courageuses ont couvert leurs corps de tatouages et ont voyagé à travers le pays, se produisant presque nues sur des scènes de cirque. Ces femmes téméraires ont tourné des histoires étonnantes devant un public captif. Mais peu connaisse leur vie réelle. Pourtant, elles ont engendré un mouvement presque culturel. Un quart d’Américains a maintenant des tatouages. Ces femmes sont en grande partie effacées de l’histoire. » (la traduction est pas top, désolé, je ne fais plus d’anglais depuis que j’ai quitté les bancs de l’école). Continuer la lecture de « L’histoire de ces femmes tatouées fin du XVIIIème »
Ellen Greene vit à Chicago avec sa famille. Ellen danse, peint, réalise de magnifiques gants en cuir. Une rencontre virtuelle qui t’accroche et te parle. c’est sûr cette fille-là a quelque chose… un don, une gentillesse, une vraie beauté.
Il a commencé à tatouer dans les années 70. Son QG, le Shamrock Social Club sur Sunset Boulevard à Hollywood, reçoit des personnalités. Il est le tatoueur de Brad Pitt, Angelina Joli, Johnny Depp, Johnny Hallyday…
Considéré comme une légende vivante, Mark Mahoney a toujours été attiré à l’idée que les tatouages sont « l’art pour le peuple ». Ses inspirations premières sont notamment les voitures, les symboles religieux, les femmes… Il est surtout connu pour son travail au noir et gris.
Lorsque Mahoney a commencé à s’intéresser à l’art du tatouage, il était hors la loi. « Il fallait être une âme courageuse et brave pour se faire tatouer« .
La vidéo réalisée par Yves Saint Laurent est très belle. Ce qui me plait chez cet homme, c’est sa classe naturelle, sa dandy attitude. http://www.shamrocktattoo.com/
Le greaser a un faible pour les tatouages mexicains.
Il m’a raconté l’origine du sien que je vous relate tant bien que mal :
Les Mexicains sont de fervents catholiques. Au mois de novembre, ils fêtent aussi leurs morts, Dia de Muertos, mais différemment… Beaucoup de joie et de couleurs se mêlent au rituel. C’est une vraie fête qui dure deux jours. On mange ensemble, on dresse des autels, on décore les cimetières. Les têtes de mort sont décorées et fleuries. La mort est belle. Les fleurs portent bonheur.
Skull et Catrina pour la fête des morts
Les Mexicains semblent vivre en harmonie avec leurs morts. Lorsque je regarde ces photos, je n’éprouve pas de sympathie pour notre culte. Ici la mort nous fait peur et lorsqu’on en parle, il faut prendre son air le plus compatissant possible. Le sourire est prohibé….
Au Mexique, un festin est même dressé autour des tombes. On consomme des pâtisseries et bonbons en forme de têtes de mort, d’ossements ! Les tombes sont éclairées de bougies. Elles guident les âmes. On dresse des autels pour les défunts. Quelle générosité de partager sa douleur.
Catrinatatouage La Catrina
La Catrina est une figure emblématique au Mexique. Le jour de la fête des morts, elle est un symbole populaire. Une tête de mort très chic, elle est aujourd’hui représentée en femme fatale. Son image qui a évolué vers un dessin plus féminin est très en vogue dans les salons de tatouage.
Les têtes de mort sont ornées d’arabesques, de fleurs en couleurs.